lundi 19 avril 2010

Blind shots - Scènes du quotidien

Dans le prolongement de ce qui vient d'être dit, voici une petite série dédiée aux métiers et activités que nous avons pu croiser dans les rues de Puno.

La mercière


Le taxycle


La maraîchère


L'écolière


Le confiseur


Le cireur de chaussures

dimanche 18 avril 2010

Blind Shots - part 1

Passant matinal (Sur le chemin du Canyon del Colca, Pérou, 2009)

Comme je faisais récemment référence au Pérou il y a quelques temps, je me suis dit que c'était le moment de partager un concept qu'on a mis au point l'an passé, à l'occasion de notre passage à Puno, au bord du lac Titicaca.

Nous ne sommes sans doute pas les inventeurs de ce principe, on a d'ailleurs fait quelques recherches sur internet depuis, et après être tombé sur quelques vidéos sur le travail de Bruce Gilden, on a été renforcé dans notre idée de discrétion.

Bon, vous commencez sans doute à voir où je veux en venir. Ce qu'on appelle blind shots sont en fait des photos prises sur le vif, sans cadrage. On se balade dans la rue, l'appareil à la main, le bras le long du corps, et on ne fait qu'orienter l'objectif grossièrement vers le sujet qui nous intéresse et on laisse le hasard faire le reste.

Bien sûr, cette façon de faire abouti à un pourcentage de déchet bien supérieur à la normale (cadrages loupés, flous de bougé, autofocus défaillant, ...), mais quand le cliché est "réussi", on capte parfois des expressions, des regards, des attitudes qu'il serait impossible de figer d'une autre manière.

Les photos de cette série sont donc non retouchées et non recadrées (c'est la règle qu'on s'est fixée).

Pentax 750Z

Patience (Puno, Pérou, 2009)

Impatience (Puno, Pérou, 2009)

Patience (Puno, Pérou, 2009)

Autoportrait involontaire (Puno, Pérou, 2009)

mardi 13 avril 2010

Ipanema, un jour de départ...





Ces photographies ont été prises à Ipanema, à Rio de Janeiro, l'an dernier, la veille de notre départ. Curieusement, il avait fait beau et chaud les jours précédents mais le ciel avait décidé ce jour-là d'être en accord avec mon état d'esprit. On connaît cette plage bondée de monde en train de se faire bronzette, animée par une horde de camelots en tout genre qui ne cessent de faire des allers-retours toute la journée, en criant à tue-tête leurs boniments. On connaît moins cette plage désertée par sa faune dès que les nuages pointent le bout de leur nez. Et pourtant, le spectacle vaut le détour. Le sable reste lumineux et tranche avec le ciel obscurcit. La mer devient émeraude. Quelques marchands déambulent malgré tout en espérant trouver quelques touristes égarés. Seuls les surfers restent fidèles à Ipanema et à ses vagues impétueuses.

lundi 5 avril 2010

Black & white Beach


Tout est dans le titre...

Sigma DP1